Jeudi
25 octobre 2012 :
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Pas
de long papier aujourd’hui mais une simple réflexion après avoir regardé la
redif de François BAYROU sur BFM TV mardi dernier lorsqu’il était interrogé par
Ruth Elkrief.
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Je
suis entièrement d’accord avec lui quand il dit que le Gouvernement doit
d’urgence « oser prendre des orientations courageuses » pour rendre compétitive
les entreprises françaises. Nous n’en sommes plus à un débat dépassé sur des
idéologies droite/gauche antédiluviennes mais bel et bien sur des solutions
osées, courageuses et dépassant les clivages politiques pour relancer notre
économie.
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Dans
ce contexte et dans cet optique, la prise en compte par le gouvernement du
rapport Gallois doit être une priorité et non enterré dans un quelconque
tiroir.
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«
Ma certitude est qu'il faut que le gouvernement écoute et qu'il ose prendre des
orientations courageuses, même si elles rompent avec le traditionnel point de
vue de la gauche », a estimé sur BFMTV François Bayrou.
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Le
coût du travail « est une question mais ce n'est pas la principale », a
poursuivi l'ex-candidat à l'élection présidentielle.
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«
Il y a une question de climat », « de savoir pourquoi les rapports avec
l'administration sont si difficiles », selon lui. « Il y a une question de
droit du travail: nous sommes dans un pays qui a des rigidités excessives et
qui empêchent les entreprises d'avancer quand on peut avancer, freiner quand on
peut freiner ».
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Quoiqu’il
arrive, le gouvernement doit infléchir sa politique, même au risque de
s’aliéner les idéologues de gauche, pour répondre au défi de la relance de
notre économie. Il en va de note avenir qui dépend directement de notre
capacité à dépasser les clivages. Au-delà de l’infléchissement de sa politique,
l’opposition doit aussi sortir de cette posture grotesque et caricaturale
qu’elle a adopté depuis sa défaite pour devenir constructive et intelligente.
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Le
clivage droite/gauche ne doit pas se faire sur le dos de la France et nous
devons tous œuvrer pour le bien des français, quelle que soit notre idéologie !
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